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Picorer le Futur : devenir ingénieur dans la monétique

Picorer le Futur : devenir ingénieur dans la monétique
Il était une fois un étudiant-ingénieur qui souhaitait prendre une adhésion au sein de son association étudiante préférée (on vous laisse deviner laquelle). Il sortit sa carte bancaire, l’approcha du lecteur qu’on lui tendait et… la suite, vous ne la connaissez peut-être pas !Car elle est bien plus complexe qu’on pourrait le penser.Damien Moubêche (#ENSEA07) nous en a donné un aperçu lors de « Picorer le Futur ». 

Picorer le Futur #2

Parce que l’ENSEA est une école d’ingénieur généraliste, les trajectoires professionnelles sont illimitées – et ça peut faire peur. C’est pour permettre à nos étudiants de se projeter dans quelques-uns de ces scénarios que le Bureau Des Techniques ENSEA, la Junior ENSEA et le service des Partenariats Entreprises ont imaginé cet événement.

Ingénieur dans la monétique

À l’aune de son expérience chez IDEMIAMastercardChristian Dior Couture puis chez Fime, il nous a présenté le secteur de la #monétique, les rouages de la chaîne du paiement et les acteurs.
 

Voici ce qu’il fallait retenir :


✅ Le monde du paiement, ce sont différentes briques technologiques et autant d’opportunités pour les ingénieurs ENSEA.



✅ La carte à puce est une invention française, aujourd'hui utilisée quasiment mondialement. C’est un petit microprocesseur avec de la mémoire et une partie programmable.



✅ La chaîne du paiement, grosso modo, c’est ça :


 

Étudiant ➡ 💳 ➡ Association
⬇⬆
🏦 Banque acquéreur
⬇ ⬆
🌐 Réseau interbancaire
(C’est le « VISA », « Mastercard » ou encore le « CB » que l’on retrouve sur sa carte bancaire et qui correspond au réseau intermédiaire permettant de connecter les banques, entres-elles.)
⬇ ⬆
🏦 Banque émettrice


 


✅ Ajoutez à cela les TPE, la gateway (l’interface de paiement qui est pluggée à un site internet) et des processeurs au milieu dont l’objectif est de procéder à ces échanges de données de façon sécurisée et de les envoyer aux bons endroits, et beaucoup, beaucoup de data.
 


En clair, « c’est bien plus compliqué que ça » nous dit Damien.



C’est pourquoi le secteur a besoin d’#ingénieurs, de la phase de développement et de sécurisation des cartes à puces, à la vérification de leur conformité, en passant par la gestion de toutes ces data.



Un grand merci Damien Moubêche pour ton intervention passionnante !